
Agriculture de précision pour améliorer la santé des cultures
Utiliser la puissance de l'ordinateur pour prévenir les ravageurs et protéger les cultures vivrières.
Résumé du projet
Mis à jour le 31 mars 2023.
Le problème
La population mondiale augmente, générant un besoin de produire plus de nourriture pour nourrir le monde.
Les cultures vivrières du Canada et du monde sont confrontées à des défis croissants du changement climatique en plus des ravageurs, des agents pathogènes et des virus qui attaquent et détruisent les cultures.
Les menaces sont grandes. Par exemple, le Canada exporte pour plus de 7 milliards de dollars de blé chaque année. À mesure que le climat se réchauffe, des maladies comme la rouille du blé se propagent plus au nord et menacent de plus en plus la production. Dans le même temps, l'utilisation croissante de pesticides entraîne des risques pour l'environnement.
Comment nous le résolvons
Le Résultat
Ce projet a développé de nouveaux contrôles contre les ravageurs et les agents pathogènes grâce à l'application de la biochimie informatique, de la génomique, de l'apprentissage automatique, de la vision par ordinateur et de la robotique, pour gérer les maladies dans les grandes cultures, minimiser l'utilisation de pesticides et sécuriser les marchés d'exportation. Le projet a établi les bases d'une plateforme de biochimie informatique pour faciliter la collecte de données numériques permettant de développer des modèles informatiques permettant de développer de nouvelles formulations fongicides agricoles contre la rouille des feuilles du blé. À la fin du projet, plusieurs formulations principales étaient en cours d'essais sur le terrain par Terramera et quatre génomes fongiques complets de la rouille des feuilles du blé ont été générés par Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC), une réalisation nouvelle, l'un d'entre eux servant de référence « de référence ». génome pour la communauté scientifique.
Chef de projet
Partenaires du projet
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« Terramera s'est engagé à réduire ou à éliminer 80 % de la charge de pesticides synthétiques dans l'agriculture à l'échelle mondiale d'ici 2030, et ce projet contribue à faire avancer notre objectif. En travaillant ensemble, nous bénéficions de l'expertise développée dans d'autres secteurs pour croître et accélérer notre mission de transformer la façon dont les aliments sont cultivés et l'économie de l'agriculture. Il s'agit d'une nouvelle approche qui s'inspire de nombreux domaines différents qui auront un impact sur la génomique et la technologie numérique de multiples façons, et peut préparer le terrain pour que d'autres entreprises résolvent des problèmes propres à leurs domaines, ayant un impact sur l'économie numérique du Canada, notre économie agricole et la santé des Canadiens. à travers le pays."
Voir la vidéo Fondateur et PDG, Terramera -
« Nous sommes ravis de ce que notre consortium a pu accomplir au cours des deux dernières années. Nous avons fait des progrès incroyables dans le traitement d'une maladie végétale critique qui menace l'industrie canadienne du blé de 7 milliards de dollars par an, en réalisant le projet et, ce faisant, en jetant les bases de notre prochaine génération de technologies et de partenariats qui s'étendront au-delà de ce projet.
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"Le projet de biochimie computationnelle a joué un rôle déterminant dans le lancement de l'incursion de Metaaspectral dans l'imagerie infrarouge. La technologie de Metaaspectral permet désormais aux utilisateurs de former, de déployer et d'obtenir des informations à partir de modèles d'apprentissage automatique à l'aide de données hyperspectrales en temps réel, ce qui a été rendu possible en partie grâce à la technologie de compression de données développée pendant le projet."
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« La collaboration au sein de ce consortium a été très instructive et enrichissante, avec un aspect majeur axé sur l'élucidation du contexte génétique moléculaire de l'interaction champignon de la rouille des feuilles/blé. Combinée aux autres aspects du projet global comme la digitalisation de cette interaction couplée à la vision artificielle, une base scientifique solide a été posée pour comprendre cette maladie des cultures et les futures expérimentations pour mieux la gérer.